
Financement d'un projet de rachat d'un commerce à remettre
Trouver un financement en Suisse pour racheter un commerce à remettre
Nos services de coaching dédiés aux entrepreneur(e)s et à leurs projets de rachat de commerce:
Business plan et prévisions
Rédiger un Business plan et des prévisions financières de qualité professionnelle.
Due diligence - diagnostic
Vérifier que votre projet est fiable et que l'entreprise reprise est solide.
Financement commercial
Obtenir pour vous un accord de financement commercial pour votre projet
Pourquoi racheter un fonds de commerce en Suisse ?
De nombreux entrepreneur(e)s s'orientent vers le rachat d'un commerce à remettre lors du souhait d'exercer une activité indépendante et recherchent une solution de financement commercial afin de financer leur projet de reprendre un commerce à vendre en Suisse.
La reprise d'un commerce à remettre, souvent perçue comme plus sécurisant qu'un projet de création d'une activité, nécessite toutefois d'obtenir les fonds necéssaires au rachat, concrètement, cela signifie d'obtenir un accord de crédit commercial dans le cas ou les fonds propres ne sont pas suffisants pour financer l'intégralité du projet de rachat du commerce.
Rédiger un business plan assorti de prévisions financières d'activité, établir un plan de financement de l'investissement global, présenter les compétences du repreneur : autant d'éléments à maîtriser afin de pouvoir se lancer et reprendre un commerce en vente en Suisse.

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Vous reprenez un commerce à remettre en Suisse ? Nous nous occupons de trouver un financement pour vous.
Obtenir un financement commercial pour racheter le fonds de commerce convoité
Notre cabinet s'occupe de rechercher votre financement commercial
Crédit commercial pour racheter et reprendre un commerce à remettre en Suisse
Coach dédié aux entrepreneur(e)s, notre cabinet s’engage aux côtés de celles et ceux qui souhaitent reprendre un commerce à remettre en Suisse romande, en leur offrant un accompagnement sur mesure, alliant expertise stratégique, conseils pratiques et solutions de financement adaptées. Qu’il s’agisse d’un commerce de proximité, d’un établissement de restauration, d’un salon de soins, d’une enseigne spécialisée ou d’une activité artisanale, nous aidons les porteurs de projet à structurer leur démarche, à sécuriser leur choix et à franchir les étapes clés de la reprise d’entreprise.
La recherche de financement constitue un levier essentiel dans tout projet de rachat de commerce. À cet effet, nous mettons à disposition des solutions concrètes pour permettre aux entrepreneur(e)s de financer l’acquisition du fonds de commerce, tout en optimisant les ressources disponibles et en valorisant leur plan d’affaires. Grâce à notre connaissance du tissu économique local et à nos partenariats bancaires ou institutionnels (Cautionnement Romand, FAE, Fondetec, banques cantonales, etc.), nous facilitons l’accès à des instruments de financement adaptés à chaque profil et à chaque secteur d’activité.
Notre mission va bien au-delà du simple conseil administratif. Elle s’ancre dans une logique de coaching entrepreneurial, avec une approche humaine et structurée. Nous accompagnons nos clients dans la définition du périmètre d’activité à reprendre, l’analyse du potentiel de croissance, la validation du prix de cession, l’identification des risques et la mise en œuvre d’un prévisionnel financier cohérent. Chaque projet de reprise est unique, et notre rôle consiste à outiller les entrepreneur(e)s avec méthode, clarté et pragmatisme.
En choisissant notre cabinet, vous bénéficiez d’une expertise ancrée en Suisse romande, d’une écoute active et d’un réseau local solide pour transformer votre ambition en projet viable et durable.
Obtenir un cautionnement pour faciliter l'obtention d'un emprunt commercial
Le Cautionnement Romand est un organisme suisse reconnu qui facilite l’accès au crédit pour les PME et les entrepreneurs en se portant garant partiel auprès des banques. Il permet d’obtenir un financement professionnel même en cas de manque de garanties personnelles suffisantes, en couvrant jusqu’à 50 à 65 % du prêt accordé.
Dans le cadre d’un projet de reprise de commerce en Suisse romande, l’accès au financement constitue souvent l’un des défis majeurs pour les entrepreneur(e)s. Même lorsque le projet est solide, bien préparé et économiquement viable, les banques commerciales peuvent se montrer prudentes, notamment face à un manque de garanties ou de fonds propres. C’est précisément dans ce contexte que l’intervention d’un organisme de cautionnement comme le Cautionnement Romand prend tout son sens.
La recherche d’une solution de cautionnement auprès du Cautionnement Romand permet aux futurs repreneurs de renforcer leur dossier de financement, en apportant une garantie complémentaire aux yeux des établissements bancaires. Cette garantie partielle couvre une partie du risque pris par la banque, ce qui facilite concrètement l’octroi d’un crédit professionnel destiné à financer le rachat d’un fonds de commerce à remettre dans la région. Grâce à ce dispositif, de nombreux projets qui n’auraient pas été acceptés en l’état peuvent être finalisés, dans des conditions favorables et maîtrisées.
Le Cautionnement Romand évalue avec rigueur la solidité du projet, la compétence du porteur et la rentabilité potentielle de l’activité reprise. L’intervention de cet organisme donne un signal positif aux partenaires financiers, tout en rassurant les repreneurs sur la crédibilité de leur plan. Ce mécanisme de soutien est particulièrement utile dans les secteurs où les actifs tangibles sont faibles ou les garanties personnelles limitées, comme la restauration, le commerce de proximité, les services ou les métiers de bouche.
Intégrer cette dimension dès le montage du dossier de reprise permet de gagner en efficacité, d’optimiser les négociations bancaires et d’accélérer la concrétisation du projet. En somme, le cautionnement professionnel constitue un outil puissant pour réussir une reprise de commerce en Suisse romande, en mettant la confiance et la solvabilité au cœur de la stratégie de financement.
Etablir un business plan pour un projet de rachat de commerce à remettre en suisse
Trouver un financement : Planification de votre future activité et établissement de prévisionnels d'activité.
Le business plan est un document structuré qui présente un projet d’entreprise, sa stratégie, son modèle économique, ses besoins financiers et ses prévisions. Il sert à convaincre des partenaires, notamment des banques ou des investisseurs, de la viabilité et du potentiel de développement de l’activité.
A quoi sert un business plan ?
Un business plan sert à structurer un projet d’entreprise et à en démontrer la faisabilité. Il permet de clarifier les objectifs, d’analyser le marché, de définir une stratégie et d’anticiper les besoins financiers. C’est un outil essentiel pour convaincre des partenaires financiers, obtenir un crédit ou un cautionnement, et piloter l’activité avec une vision claire et chiffrée.
- Présentation du projet
- Présentation du ou de la repreneur(e)
- Prévisions d'activité sur trois années
- Plan de financement du projet de rachat
- Flux de trésorerie prévisionnels
- Bilan prévisionnel
Notre cabinet assiste les entrepreneur(e)s souhaitant racheter un fonds de commerce en vente en suisse et propose d'établir pour leur compte un dossier bancaire complet comportant l'ensemble des données nécessaires, à savoir : explications et présentation du projet, présentation du ou de la repreneur(e), prévisions d'activité sur trois années, plan de financement du projet de rachat, flux de trésorerie, bilan prévisionnel, etc.
"Reprendre un commerce en toute sécurité avec un diagnostic complet et professionnel"
Pourquoi réaliser une due diligence avant de reprendre un commerce à remettre en Suisse ?
Acheter un commerce à remettre en Suisse est une opportunité réelle d’entreprendre rapidement, en s’appuyant sur une structure existante. Toutefois, derrière une activité en apparence fonctionnelle peuvent se cacher des risques juridiques, financiers ou opérationnels. C’est pourquoi la réalisation d’une due diligence – ou diagnostic d’acquisition – est une étape cruciale avant toute décision de reprise.
La due diligence vise à vérifier la réalité et la solidité de ce que l’on achète. Elle permet d’examiner en détail les éléments essentiels du fonds de commerce : chiffre d’affaires réel, charges fixes, rentabilité, contrats en cours, bail commercial, état du matériel, autorisations d’exploitation, litiges éventuels ou dépendance à un fournisseur clé. Ce processus réduit considérablement les zones d’incertitude et aide à identifier les points de vigilance.
Dans le contexte suisse, où les activités peuvent être très encadrées selon le secteur (restauration, santé, vente réglementée), ce diagnostic permet également de valider la conformité administrative et légale du commerce repris. Il est courant, par exemple, de découvrir un bail difficilement transférable, des équipements non conformes, ou des passifs latents qui pèseraient lourdement sur le repreneur.
Une due diligence bien menée donne les bases pour négocier le prix de vente, ajuster les garanties de passif, sécuriser les engagements du vendeur, voire renoncer si les risques sont trop importants. Elle ne doit pas être perçue comme une formalité mais comme un outil de protection et de stratégie.
Faire appel à un expert en reprise de commerce ou à un cabinet spécialisé permet de bénéficier d’une lecture fine des chiffres et des contrats. En résumé, une due diligence professionnelle est un investissement indispensable pour acheter un commerce avec lucidité, crédibilité et sécurité.
"Je cherche un crédit pour reprendre un commerce : comment faire ?"
Reprendre un fonds de commerce à vendre en Suisse représente une formidable opportunité pour entreprendre rapidement sur des bases existantes : clientèle établie, emplacement stratégique, activité en fonctionnement. Mais pour concrétiser une telle reprise, il faut souvent lever un obstacle majeur : trouver un financement commerial adapté, rapide et sécurisé.
La première étape consiste à présenter un projet solide. Les banques et organismes de cautionnement ne financent pas uniquement des idées, mais des plans concrets. Un business plan complet, des prévisions financières sur trois ans et une vision claire de la reprise sont indispensables. Il ne s’agit pas seulement de racheter un fonds, mais de démontrer que l’activité peut se maintenir, se développer et générer des revenus suffisants pour rembourser le crédit.
Les banques commerciales restent un acteur central du financement. Toutefois, face à la prudence des établissements suisses, il est souvent nécessaire d’apporter des garanties. C’est ici qu’intervient un levier puissant : le Cautionnement Romand. Cet organisme peut garantir jusqu’à 65 % du prêt bancaire, ce qui réduit le risque pour la banque et ouvre l’accès au crédit même avec peu de garanties personnelles. Cette solution est particulièrement utile pour les jeunes entrepreneur(e)s ou les personnes en reconversion professionnelle.
D’autres pistes existent : emprunt personnel, financement par des proches, leasing d’équipements, ou encore aides cantonales. À Genève, la Fondetec peut intervenir sous forme de prêt ou de garantie, à condition que l’activité soit locale et créatrice d’emplois.
Enfin, il est vivement recommandé de se faire accompagner par un coach en financement d’entreprise, un fiduciaire ou un expert en reprise de commerce. Trouver un financement, c’est avant tout savoir présenter, structurer et défendre son projet avec méthode et crédibilité. Avec les bons outils et les bons interlocuteurs, le financement devient un tremplin, pas un frein.
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Quels sont les commerces les plus facilement finançables en Suisse ?
Obtenir un financement pour reprendre ou créer un commerce en Suisse dépend de plusieurs facteurs : solidité du projet, expérience du porteur, qualité du business plan, mais aussi typologie du commerce visé. En pratique, certains secteurs d’activité sont perçus par les banques et les organismes de cautionnement comme plus stables, plus rentables ou plus résilients, et sont donc plus facilement finançables.
Les commerces de proximité bénéficiant d’un ancrage local fort et d’une clientèle régulière font partie des activités les mieux perçues par les prêteurs. Il s’agit notamment des boulangeries, épiceries fines, commerces alimentaires spécialisés, salons de coiffure et instituts de beauté, qui présentent des modèles économiques simples, des flux de trésorerie réguliers, et une demande soutenue, même en période de ralentissement conjoncturel.
La restauration de type snack, take-away ou restauration rapide, en particulier dans les zones urbaines ou à fort passage, est également bien financée, à condition que le porteur ait de l’expérience et que l’emplacement soit validé comme stratégique. Ce secteur reste exigeant, mais son potentiel de rentabilité à court terme et sa capacité à générer du cash-flow plaisent aux établissements bancaires.
Les commerces franchisés ou rattachés à une enseigne nationale ou régionale présentent aussi un profil rassurant. En s’adossant à un réseau existant, l’entrepreneur bénéficie d’un modèle éprouvé, d’une notoriété déjà installée et d’un accompagnement dans la gestion. Cela réduit le risque perçu par les financeurs, d’autant plus si le franchiseur intervient dans le montage financier ou garantit partiellement la viabilité du projet.
Les commerces liés à la santé, au bien-être ou à l’entretien personnel (optique, soins esthétiques, fitness de proximité, pharmacie, soins à domicile) sont également considérés comme porteurs, surtout dans un contexte de vieillissement démographique et de recherche de qualité de vie. Leur potentiel de récurrence et leur résistance aux crises renforcent leur attractivité auprès des prêteurs.
En revanche, les activités jugées trop dépendantes de la conjoncture, de saisonnalités marquées, ou présentant un risque juridique ou opérationnel élevé, seront soumises à des critères plus stricts, voire à des refus.
En résumé, les commerces générant une clientèle fidèle, un chiffre d’affaires stable, et une rentabilité prévisible, avec un pilotage rigoureux, sont les plus aisément finançables en Suisse. La qualité du repreneur, son expérience et sa préparation restent cependant des éléments décisifs, quel que soit le secteur visé.